Over Mechelen

Malines Vers les prés le vent cherche noise Aux girouettes, détail fin Du château de quelque échevin, Rouge de brique et bleu d'ardoise, Vers les prés clairs, les prés sans fin ! Comme les arbres des féeries, Des frênes, vagues frondaisons, Echelonnent mille horizons A ce Sahara de prairies, Trèfle, luzerne et blancs gazons. Les wagons filent en silence Parmi ces sites apaisés. Dormez, les vaches! Reposez, Doux taureaux de la plaine immense, Sous vos cieux à peine irisés ! Le train glisse sans un murmure, Chaque wagon est un salon Où l'on cause bas et d'où l'on Aime, à loisir, cette nature Faite à souhait pour Fénelon. Août 1872 -- Paul Verlaine, Romances sans paroles, 1874
Een van zijn gedichten was tijdens de 2de WO de code voor het verzet voor de landing van Normandië: "...Blessez mon coeur d' une longueur monotone." daarmee eindigde het alvast.
Een mooi gedicht, Joeri. Maar ja Paul Verlaine was dan ook een grote meneer he!
Kan iemand voor een vertaling zorgen want ik versta dit niet.