Over Mechelen
By Joeri - Posted on 31 augustus 2005
Malines
Vers les prés le vent cherche noise
Aux girouettes, détail fin
Du château de quelque échevin,
Rouge de brique et bleu d'ardoise,
Vers les prés clairs, les prés sans fin !
Comme les arbres des féeries,
Des frênes, vagues frondaisons,
Echelonnent mille horizons
A ce Sahara de prairies,
Trèfle, luzerne et blancs gazons.
Les wagons filent en silence
Parmi ces sites apaisés.
Dormez, les vaches! Reposez,
Doux taureaux de la plaine immense,
Sous vos cieux à peine irisés !
Le train glisse sans un murmure,
Chaque wagon est un salon
Où l'on cause bas et d'où l'on
Aime, à loisir, cette nature
Faite à souhait pour Fénelon.
Août 1872
-- Paul Verlaine, Romances sans paroles, 1874
Submitted by Jeroen van FP on Sat, 09/03/2005 - 21:35.
Een van zijn gedichten was tijdens de 2de WO de code voor het verzet voor de landing van Normandië: "...Blessez mon coeur d' une longueur monotone." daarmee eindigde het alvast.
Submitted by Markec (not verified) on Wed, 08/31/2005 - 19:12.
Een mooi gedicht, Joeri. Maar ja Paul Verlaine was dan ook een grote meneer he!
Submitted by eenvoudig (not verified) on Wed, 08/31/2005 - 14:13.
Kan iemand voor een vertaling zorgen want ik versta dit niet.